...de la grande-branche de
'David & Marie-Anne Thériault'
[MRIN 3518]
[ENGLISH VERSION]
Lignée
1. Jehan
2. Claude
3. Germai
4. Joseph
5. Joseph
6. Jean-Baptiste
7. Jean-Baptiste
8. Sifroi
9. David |
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Migration:
Acadia... Baie des Chaleurs, NB... Ontario
Sauf
pour Jehan qui est né en France, bien sûr, les quatre premières
générations de cette grande-branche ont tous été né et enterré
en Acadie. Germain, fils aîné de Claude, sa installé à Grand-Pré
pour rejoindre son grand-oncle Pierre en un certain temps avant
1686 quand il a épousé Marie Anne Richard de Rivière aux Canards
et a débuté sa famille dans ce quartier de Grand-Pré. De
nombreuses années de paix et de prospérité en générale a suivi
cette période.
Trajet de la cinquième génération. Le traité
d'Utrecht de 1713 a donné l'Angleterre la possession définitive
de la colonie de l'Acadie. Cet acte a mit en marche une série
d'événements qui a changé fondamentalement et totalement la vie
des Acadiens. La cinquième génération de la famille Terriot qui
couvrait les années 1715 à 1785, était la génération qui a
souffert grandement de cette tragédie. Peu de temps après le
traité, de nombreux Acadiens, probablement les plus jeunes, se
sont établis à Beaubassin en partie pour se distancer des
anglais, mais aussi en raison de la plus grande prospérité de
Beaubassin. Trois des 61 membres de la cinquième génération des
Terriot que nous connaissons aujourd'hui; deux frères, Paul et
Joseph, fils de Claude de la Rivières aux Canards et leur
cousin, Joseph, fils de Joseph, de la paroisse de St-Charles en
Grand-Pré ont décidé de quitter leur pays natal, Grand-Pré pour
Beaubassin à la même époque en 1745 au cours de laquelle ils
s’avaient tous mariés.
Au cours d’une dizaine années, les conflits et notamment
l’incendie de Beaubassin en 1750 entraînerait les trois familles
de continuer à migrer loin de leur chère Acadie. Contrairement
de ses deux cousins qui ont choisi d'attendre à Beaubassin,
Joseph (fils de Joseph) d'abord se sa déplacé vers la rivières
St-Jean inférieure probablement dans Grimross (Gagetown) vers
1755. Malheureusement, le colonel Robert Monckton et ses troupes
ont venu pour détruire Grimross trois ans plus tard, après quoi
Joseph et sa famille ont fui le village avec les autres Acadiens
à Sainte-Anne, (Fredericton contemporain). Mais le destin ne
serait pas favorable cette fois pour Joseph. Quelques mois plus
tard en fin d'hiver, en 1759, l'infâme Moses Hazen et ses hommes
sont arrivés sur le village acadien pour détruire ses maisons,
granges et autres abris laissant les Acadiens sans abri.
Recherchant une plus grande sécurité, Joseph déménagea avec sa
famille près de 250 miles par la rivière Saint-Jean à le fleuve
Saint-Laurent sans savoir que le major général James P. Wolfe
était également engagé a terrorisé la région à cette époque.
Joseph, bien sûr a essayé d'éviter ces domaines et a procédé à
Trois-Pistoles en 1760 qui est à l'est de la région attaquée par
Wolfe, et en 1761 à Cap-Saint-Ignace et plus tard encore, en
1765, à Sainte Anne de La Pocatière. Apparemment pas satisfait
de la situation au Saint-Laurent, Joseph a décidé deux ans plus
tard pour revenir à la rivière inférieure Saint-Jean à Nashwaak.
Il fut l'un des premiers Acadiens à revenir dans la région de
Saint-Laurent. Le quartier semblait s'être stabilisé et d’abord,
ils ont construit une maison sur Sugar Island (l'Ile au Sucre) à
l'embouchure de la rivière Keswick.
Pour la première fois, il semblait enfin à Joseph qu’il serait
en mesure de poursuivre une vie de construire une ferme et une
famille. Mais la paix serait interrompue en 1776 quand les
colonies américaines ont éclaté en révolution. Au moins une
partie des Acadiens ont pris la part des Américains en des
campagnes de courte durée contre les Anglais. Une fois encore,
les Anglais se sont invités à piller et terroriser les maisons
et les biens des Acadiens dont Joseph. Ajoutant à la pression de
ce conflit sur les Acadiens de la région inférieure St-Jean, la
région fut bientôt remplie de loyalistes qui fuyaient les
colonies américaines. Ces deux actions dans le milieu des années
1780 se sont combinée pour monté la pression sur les Acadiens
pour de nouveau de cherché des endroits plus paisibles. En 1786,
Joseph a vendu sa propriété à un loyaliste nommé Frederick
DePeyster puis mis en marche vers Caraquet avec sa famille pour
arriver à Caraquet avant la fin de l'été. Peu de temps après,
Joseph a reçu ses octrois pour ses terres, pour lui et ses fils
qui ont passé une dizaine d'années de paix relative et de
prospérité. Joseph est mort en l'hiver de 1795-1796 et fut
enterré à Sainte Anne du Bocage, à Caraquet.
Générations
6-8
ont
maintenu
leurs maisons dans la
région de Caraquet et Grand Anse
du Nouveau-Brunswick
tandis que la Générations 9 (David)
a épousé Marie-Anne
LeBlanc à Saint
Chrisostome à
Armprior, Ontario, Canada.
Cécile
Barcelo
est une
petite-fille
de Léontine
Thériault qui était une
arrière-petite-fille
de
Jehan Terriot
de la
10e génération.
Cécile
est notre délégué
pour la
grande-branche de
David
et Marie-Anne
Thériault.
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Photo 1.
Léontine Thériault
(16 ans)
et son conjoint,
Guillaume Chiasson,
qui se sont mariés en
1918. Léontine
est la seule
fille
de
David et Marie-Anne. |
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