L’approche
du vieux Grand-Pré. La terre d’Évangeline.
Vue du Nord-Ouest
en direction du large, le bassin des Mines (Minas Basin), avec la région
de Grand-Pré au centre. Le canal des Mines, de ce côté
des montagnes, s’ouvre sur la Bay of Fundy vers la gauche. Grand-Pré
a été fondé par Pierre Melanson et Pierre Terriot,
les plus jeunes enfants de Jehan et de Perrine Terriot. Pierre Terriot
a vécu dans un tout petit établissement près de Grand-Pré
appelé Rivière-aux-Canards sur le côté gauche
de la photo.
Pensées
de Longfellow, extrait d’Évangeline :
Le
soleil se lève doucement sur le village de Grand-Pré
et
ses brillants rayons réchauffent l’air doux du bassin de la Minas,
où
on peut observer l’ombre ondulante des bâteaux qui y sont à
l’ancre.
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Rivages
de Grand-Pré… et les prés créés par les digues
acadiennes. C’est sur ces rivages, le 19 août 1755, qu’a débuté
la déportation des Acadiens. Ils ont d’abord été rassemblés
puis séparés et dispersés par Winslow sous les ordres
de Laurence. Pouvons-nous croire Winslow lorsqu’il écrit dans son
journal intime : « Cette situation pèse lourdement sur ma
conscience » Plus de 15 000 Acadiens [ref : 26] furent séparés
et dispersés de leur mère patrie : l’Acadie. De quels désespoirs
et de quelles horreur ces rivages ont été le témoin
!
Pas très loin,
on peut apercevoir le clocher de l’ancienne église Saint-Charles-les-Mines
et les prés abondants créés par les digues retenant
en les eaux salées de la Baie Française. |
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Grand-Pré…
et
l’église de Saint-Charles-les-Mines, une réplique
terminée en 1930 à l’occasion du 175e anniversaire de la
grande déportation. Elle à été construite sur
l’endroit que l’on croit être celui de la première église
Saint-Charles. De l’église, nous pouvons voir, à travers
les champs travers une des digues de Grand-Pré telle comme que vue
sur la photo, à droite. Le premier plan de cette photo révèle
un des anciens aboiteaux construit par les Acadiens. Un courte visite à
l’historique
parc national de Grand-Pré
vous informera beaucoup plus au sujet de cet historique emplacement acadien. |
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Beaubassin…
À
courte distance du côté Est, se trouve la partie la plus à
l’Est de la baie de Chignectou dans la région de Beaubassin. Au
centre de cette photo, on peut constater la présence des Acadiens
et aussi l’omniprésence de leurs digues. Ces digues sont situées
dans l’espace entre le fort Beauséjour et le fort Laurence. Des
milliers d’acres de marais ont été convertis en terres fertiles
fournissant aux Acadiens des récoltes abondantes et plus tard pour
les habitants de la Nouvelle-Écosse. Ces digues sont encore utilisées
aujourd’hui. L’établissement de Beaubassin a été faite
après le secteur Grand-Pré. |
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Baie
Sainte-Marie… Notre dernier arrêt fut dans la région
la de Baie Sainte-Marie, (St. Mary’s Bay) plus spécifiquement la
région de l’église Pointe vers Meteghan, le seul secteur
acadien encore actif en Nouvelle-Écosse présentement. C’est
là que se situe l’Université
Sainte-Anne et son centre acadien.
Un rapide coup d’oeil
à l’Université est comme une marche à travers la longue
aventure acadienne qui fait foi d’une partie des importantes recherche
acadienne faites au Centre.
En plus, les Acadiens
sont amicaux, leur cuisine est délicieuse et la campagne si accueillante.
Je vous invite ardemment à vous arrêter à leurs petits
restaurants et à causer avec les propriétaires et les serveurs.
Je recommande tout particulièrement l’auberge
au Havre du Capitaine. Vous serez
enchantés. Vous trouverez sûrement et avec grand plaisir quelques
plats acadiens sur leur menu. |
Nous y avons trouvé,
bien entendu, la famille Theriault. Ici, A.F. Thériault est dans
le domaine de la construction de bâteaux. La vue et l’odeur du bois
de construction rugueux fraîchement scié me rapelle la scierie
de mon grand-père à Baker-Brook, Nouveau- Brunswick. Mon
grand-père m’a dit que j’avais de la sciure de bois dans mes veines… |
Ainsi,
ici nous sommes… à l'extrémité de la route de notre
excursion par le Bleu et les Verts… là sont beaucoup plus de vues
naturellement mais c'étaient les vues acadiennes principales. L'extérieur
de ces derniers sont toutes les villes de plaisir comme des palourdes de
Digby.... mieux au monde ; Lunenberg, une tache la plus scénique
et la plus belle. Halifax était une surprise totale…Nous y sommes
enfin… à l’extrémité de la route et de notre excursion
dans le bleu et le vert de la région. Beaucoup d’autreS magnifiques
paysages sont là mais nous avons les principaux sites acadiens.
Un peu à l’extérieur de ceux-ci se trouvent plusieurs petits
villages coquets tels que Digby où on trouve les meilleurs palourdes
du monde. Lunenberg est aussi un endroit panoramique d’une grande beauté.
Halifax fut une surprise totale avec ses paysages, sa vie culturelle et
ses nombreux divertissements. Durant notre séjour, nous avons assisté
à un concert de musique au Cap-Breton et, bien sûr, nous nous
sommes rendus sur la superbe et renommée Cabot Trail. Il y a assez
de choses à voir en Nouvelle-Écosse pour occuper les touristes
durant plusieurs semaines.
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voyage, cliquez sur le lien Do’ers
and Dreamers afin d’obtenir une copie
gratuite de leur guide Doers and Dreamers. Un guide complet et très
utile sur la façon de voyager en Nouvelle-Écosse. Un autre
truc pour vous faire économiser quelques milles et en peu de temps.
Vous pourriez décider de prendre le traversier à Portland,
Maine ou à Bar Harbor, Maine. Cliquez ce lien pour de plus amples
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Au revoir ! |
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