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    Musique de fond : "Evangeline" chanté par Marie-Jo Theriault
PROLOGUE
Part the First;   ...Down the long street she passed, with her chaplet of beads and her missal... "EN BAS DE LA LONGUE RUE ELLE A PASSÉ…" illustration de l'Evangeline légendaire dans son village indigène de Grand-Pré, de "L'Histoire d'Evangeline', d'une adaptation de Clayton Edward de la légende et poésie de Longfellow. 

                                                                          Pour une expérience véritablement belle et unique, visitez l'université du centre des textes électroniques de la Virginie pour voir et lire le texte original et les illustrations originales "Evangeline, un conte de l'Acadie" de Henry Wadsworth Longfellow, édité en 1847. Veuillez être patient… tu téléchargera 115.000 bytes de données. Ce lien te porte directement au livre… 

Nos livres d'histoire font clairement les motifs des puissances coloniales dans leur exploration du nouveau monde et beaucoup est écrit en ces livres des villages de Jamestown, du Québec et de Plymouth en 1607, 1608 et 1620. Malheureusement, autant n'est pas écrit des villages acadiens les plus tôt de l'île de Sainte Croix et du Port Royale, en 1604 et 1605. Et, moins est connu de les Acadiens et de leur recherche pour une meilleure vie. Pour la plupart d'entre nous, notre connaissance de les Acadiens est limitée à la belle poésie de Longfellow, 'Evangeline'.

     Donc la question est : Qui étaient les Acadiens ? Pourquoi étaient-ils disposés à se déplacer de leurs maisons en France et à prendre les dangers et le travail dur de l'émigration au nouveau monde ? Était-ce ce mauvais à vivre en dix-septième-siècle France ?


LA VIE MÉDIÉVALE DE JEHAN TERRIOT11

L'histoire écrite de la famille de Terriot s'ouvre dans le village tranquil soleil-lavé et féodal de Martaizé dans la province médiévale de Poitou en France centrale occidentale. C'est la région moyenne de Loire, un secteur des campagnes pastorales et des champs riches qui s'étendent de l'horizon à l'horizon dans la mesure où l'oeil peut voir. Beaucoup de cette histoire est fait historique enregistré. Le reste de notre histoire est une interprétation des faits connexes, qui est basé sur l'histoire enregistrée de ce temps-là. L'année est 1601, l'année que Jehan Terriot a été soutenu.

La vie pour Jehan Terriot serait simple mais non facile. Soutenu à Charles12 et à son épouse, un paysan cultivant des couples dans Martaizé, il a commencé à travailler par son père à l'âge de dix tendant les quelques têtes du bétail et fonctionnant une petite parcelle de terrain de terre louée de <<Charles de Menou >> seigneur d'Aulnay de Charnisay et de sa mère, Nicole de Jousserand. Le "Seigneurie" (prononcé 'seng-ur-ie')13 d'Aulnay a inclus un secteur composé de la La (Grande) Chaussée, Aulnay, et Martaizé dans la région de Loudun. Ces villages étaient apparemment toute la partie de la paroisse de Saint-Saint-Clement de la Grande-Chaussée qui a contrôlé les disques pour les paroissiens de ces villages.

La vie en France dans cette période était quelque chose mais plaisante. Elle était rare pour les gens du commun tels que le Terriot à propre terre parce que la noblesse et la redevance ont possédé une grande partie de la terre. La maladie était effrénée en raison du surpeuplement, du manque d'hygiène de base, et de la négligence par les classes régnantes. L'éducation était réservée pour la bourgeoisie, la noblesse et la redevance. Ainsi, il était pratiquement impossible pour qu'un fermier ou un marchand commun améliore son niveau la vie.
 

STE-JEANNE D'ARC… après sa victoire chez Orléan… en pleine robe et en portant son standard… dans la cour de le Roi Charles VII dans Chinon. Après était sa marche à Poitier, capital de la province antique de Poitou, pour être interrogé par l'église. Cette marche lui a pris par La Grande Chaussée, la paroisse héréditaire de les Terriots. 

(Voiçi une illustration d'une peinture 'JOAN OF ARC' par un étudiant de Dominique Ingres par la permission du site web Saint Joan of Arc Center, Albuquerque, NM. Si tu ne penses pas que tu sais tout au sujet de St-Jeanne d'Arc, nous avons fortement recommandé que vous visitez le centre. Vous ne serez pas déçu)

St-Joan of Arc at Chinon reporting to King Charles

Bien que la France plus tôt ait réussi (avec l'aide de jeune fille appelé Jeanne d'Arc) pour pousser l'anglais outre du continent européen, les deux pays ont continué à se battre à chaque occasion. Pour rendre des sujets plus mauvais, l'église catholique avait survécu à la guerre des papes deux cents ans de plus tôt mais a été maintenant corrompue avec la puissance politique. Un exemple était Richelieu cardinal qui a régné (au nom du roi de la France) au-dessus de la province de Poitou de son siège dans la ville de Richelieu, juste quelques kilomètres de Martaizé. Le cardinal puissant a souvent affecté la vie quotidienne de la famille de Jehan.

Pendant l'enfance de Jehan, <<Sieur De Monts>> a arrangé l'île de Sainte-Croix en 1604 mais trouver l'hiver très hostile, déplacé le règlement à travers le compartiment de Fundy pour mettre en Port Royal par année suivante. Deux des victimes de cet hiver horrible sur l'île de Sainte-Croix, un missionnaire catholique et l'autre un ministre protestant de Huguenot ont été enterrés dans la même tombe par les membres survivants en expédition qui étaient évidemment méprisants de leurs rivalités petites. (pour une courte description de l'histoire des débuts de la colonisation d'Acadia, voir l'article intitulée "Un Peu D'Histoire" de Gilles Theriault)
 

St-Croix Island... seen from the American side of the St-Croix River ILE ST-CROIX. Ce morceau fatidique de terre (montrée dans le fond central) au milieu du fleuve Sainte-Croix ce qui s'est avéré être si hostile au premier groupe de colonials français. L'hiver de 1604-1605 sur cette île était un hiver très morne et mortel pour beaucoup dans ce groupe. Aucun eau doux et peu pour manger… le choix très faible pour un premier atterrissage. 
                                                                           Ce bout droit du fleuve Sainte-Croix qui ouvre dans l'Océan atlantique quelques milles du sud, forme aujourd'hui la frontière normale entre les Etats-Unis et le Canada. Le service de parc national des USA (île Ste-Croix) et Parc Canada préparent des plans pour augmenter l'emplacement historique existant dans un parc national acadien ici qui se concentrera sur ce morceau d'histoire acadienne. Il est plus que peu en retard ! 

L'abus de l'église a déclenché sa réforme environ cent ans de plus tôt et le mouvement protestant qui a été suscité par Martin Luther et John Calvin faisait rage. Maintenant, c'était des catholiques contre les protestants, qui ont inclus particulièrement le Huguenots protestant en France. La ville de La Rochelle est devenue sympathique à la cause de Huguenot à un point pour recevoir seulement la colère de Richelieu. Richelieu a scellé le port, a mis la ville entière dans le siège, et est mort de faim la ville dans la soumission. Jehan Terriot était alors sa fin des années '20 et en travaillant aux marais de marée de La Rochelle fermer-par.

Jehan12 a eu la bonne fortune de travailler en tant qu'apprenti avec un ordre des moines de Hollandes qui ont été impliqués en reprenant les marais et les terres en contre-bas de marée autour de La Rochelle, sur la côte occidentale de la France. Sous les conseils des moines, il a appris la compétence de construire l''aboiteau '. Un <<aboiteau>> est une valve ou une porte en bois enfermée dans une boîte qui une fois installées dans un dike ou un levée, empêchent l'eau de mer d'entrer dans les marais à la marée élevée, mais à la basse marée permet aux eaux souterraines de couler diked des marais et dehors en mer. Ceci enlève le sel des marais et reconditionne ces terres en contre-bas dans les champs riches et productifs en 2 à 3 saisons. Cette approche pour créer de nouveaux champs comporte beaucoup moins de travail que des acres de dégagement de forêt et des tronçons de traction par des boeufs.

Puisque le tour du siècle, de l'Angleterre et de la France avait été impliqué dans un excédent sans fin de cycle de bataille-traité pour nouvelle France et Acadia. Ce cycle a continué en 1632, quand le Traité d'Saint-Germain-en-Laye a renvoyé de nouveau la nouvelle France et Acadia en France. 10 mai, Cardinal de Richelieu qui était alors ministre au Roi Louis XIII a organisé deux compagnies commerciales : un pour coloniser le Québec et un en second lieu, pour coloniser Acadia. Richelieu a nommé son cousin et conseiller de Touraine, <<Isaac de Razilly>> comme lieutenant général de la nouvelle France et gouverneur d'Acadia. Razilly, alternativement commissionné Charles de Menou, son cousin en tant que son lieutenant et demandé Charles de Menou pour l'accompagner sur l'expédition à l'Acadie. Razilly a projeté recruter la plupart des hommes pour son expédition des provinces de Touraine, baie et de Brittany avec le repos venant de la province de Poitou dans les villages de la La Grande Chaussée, Aulnay, et Martaizé. Comme les familles de Razilly et Charles de Menou possédait ce secteur de Poitou, elles ont connu le peuple et étaient ainsi en bonne position pour choisir les hommes les plus capables et la plupart les plus habiles.
 

1642
CHARLES DE MENOU, 
SIEUR d'AULNAY de Charnisay 
(courtoisie de Le Musée de Fort Point, La Have, NS.)
Charles de Menou était un homme qui était intéressé par les personnes et qui a eu un intérêt spécial pour la pratique diking. Par conséquent, il a connu Jehan et l'a su de son expérience de bâtiment de dikes et de l'aboiteau. Ainsi il a invité Jehan pour joindre les 300 hommes choisis ("hommes d'élite") dans une expédition à l'Acadie en 1632. Actuellement, Jehan était 31.

Bien que Perrine Brault2 ait été dix ans plus jeune, Jehan l'a connue très bien parce qu'elle a également habité dans le Seigneurie d'Aulnay. Sûrement, Jehan a eu à ce jour des espoirs de marier Perrine mais il n'agirait pas sur ces espoirs pendant encore 3-4 années. À cet jeune homme aventureux, cette invitation était très attrayante. C'était une occasion d'une vie si la colonie réussissait mais il y avait également les gros risques et les risques représentant un danger pour la vie à considérer.

 Les risques ont commencé d'abord de tous avec le croisement de deux mois au-dessus de l'Atlantique nord à l'Acadie. Naviguant contre les vents régnants du l'ouest, la voile de France au mieux serait une voile de six semaines, quelques fois s'étendant à dix semaines. Souvent la maladie éclaterait à bord en raison des conditions sanitaires faibles sur le bateau et le manque de nourriture fraîche après les jours premiers en mer.

Alors il y avait les incertitudes qui se poseraient à lui dans l'Acadie. Il n'était pas sûr jamais de pouvoir retourner. Certainement, beaucoup dur et le travail périlleux serait exigé et travail avec les hommes qu'il n'a pas su. Néanmoins, il a fait confiance à Charles de Menou, et les occasions devaient certainement là établir une nouvelle vie et à propre terre. En fin de compte, il a accepté l'invitation du seigneur d'Aulnay de joindre l'expédition à Acadia15 et a projeté naviguer plus tard cette année.


LA PREMIÈRE VOILE : 1632

Model of ship which took our ancestors to La Hève... compliments of Fort Point Museum, La Have, NS.20 juin 1632 [ref:9, p.247], deux bateaux, Saint Jehan (250 tonnes) et l'Esperance en Dieu a navigué de La Rochelle après avoir pris quelques hommes (qui  inclus Jehan Terriot) et les dispositions nécessaires pour l'expédition. La flotille se dirige pour Auray dans Bretagne, pas loin du port gauche principal de Le Havre. Là, un troisième bateau a joint les deux premiers et le reste d'environ 300 recrues a été embarqué. 300 ‘hommes d’elite’ composé des soldats et leurs officiers, des missionnaires et quelques fermiers, marchands et des hommes a loué. Theophraste Renaudat, le fondateur du Français enfoncent 1632, rapporté ces nouvelles en son journal 'The Gazette'.

La flotille a laissé Auray 28 juillet 1632 et a navigué à l'ouest à travers l'Atlantique nord. La voile était réellement relativement courte, pas tout à fait six semaines. Elles ont laissé tomber l'ancre 8 septembre à la bouche du fleuve de La Hève (La Have actuelle) sur les rivages du sud de l'Acadie. C'était la fête de la Nativité de la Vierge.

Mais, c'était également l'automne et il n'y avait plus de temps pour épargner. L'hiver placerait dedans bientôt. Par conséquent, les colons ont immédiatement commencé la tâche d'établir un règlement. Ils ont construit la première fois un fort sur le point à l'entrée au fleuve de La Hève et puis quelques logements pour les colons. Après, ils ont construit un logement pour les missionnaires, une chapelle, et une monastère pour les moines de Capucins qui étaient également une partie de la colonie.

Pendant l'année suivante, un domaine de terre à partir du fleuve et d'aller à l'ouest du fort environ 15 kilomètres avait lieu s'est dégagé. Le secteur entourant immédiatement le fort était une grande roche de promontoire et n'a pas pu être cultivé.

Dans cette grande entreprise, les associés du principe Razilly, Charles de Menou et <<Nicolas Denys>> agée 36 et 34, respectivement, ont joué des rôles importants dans le règlement de l'Acadie. Charles de Menou s'est consacré à obtenir les colonials arrangés dedans et concentrés sur organiser et diriger leur travail. Nicolas Denys, fils et petit-fils des officiers provinciaux dans les excursions, et un négociateur d'homme d'affaires dans et habile accompli, a pris la tâche principale de développer la pêche de l'Acadie et le commerce d'exportation de fourrure et de bois de charpente en France.

En 1634, Razilly dans une lettre à Richelieu cardinal a confirmé ce fort Sainte-Marie-De Grâces à la La Heve ? a été entièrement préparé 'défendent la croix et Fleur de Lis'et son arsenal a inclus une batterie de 25 canons.

Au printemps de 1635, avec le règlement bien établi, Jehan est revenu à la France pour se poursuivre par son plan. Après renvoi en France, Jehan et Perrine se sont mariés et ont commencé leurs vies ensemble comme bientôt-à-être les colons acadiens. Ils ont fait des plans pour naviguer au printemps de 1636 sur le Saint-Jehan.

En arrière dans l'Acadie cependant, en décembre de 1635 après que Jehan laissé pour la France, le Gouverneur Razilly soit mort soudainement à l'âge de 48 ans. Razilly a passé toutes ses possessions à son frère Claude, mais Claude a montré peu d'intérêt en venant à Acadia et dans l'intérêt de la colonie, Razilly à laisser Charles de Menou, son collaborateur, responsable de surveiller son possessions et la colonie. Razilly a été enterré en La Hève16.

Maintenant responsable de la colonie, D'Aulnay décide de se déplacer à Port Royal en 1636, où il établit un nouveau "Fort Royal" cinq milles de l'habitation originale. Malheureusement, D'Aulnay ne serait pas laissé pour mener la nouvelle colonie sans complications. <<Charles de La Tour>> à son entreprise avec la colonie avait fait beaucoup d'amis puissants dans la cour du roi. Il a contesté le rôle de d'Aulnay en menant la colonie et a appelé une réclamation contradictoire à la colonie basée sur sa commission en 1631 de Louis XIII. En même temps, il a déplacé ses sièges sociaux du Cape Sable au fleuve St-Jean, où il a construit un fort et s'est mis à gêner d'Aulnay dans une guerre civile de quinze ans. En utilisant les raccordements anglais de son père, La Tour appellerait de temps en temps de l'aide de Boston dans le pillage d'Aulnay.


LA DERNIÈRE VOILE : 1636

Le ressort suivant en mars de 1636, Jehan et sa nouvelle jeune mariée, Perrine Brault a recueilli leurs possessions dans leurs chariots et s'est préparé à leur voyage.27[ref: 29] Il était d'usage de la période pour des colonials à marier avant leur départ pour Acadia.
 

ÉGLISE DE 
LA CHAUSSÉE...

Cette petite église en pierre remonte au 11ème siècle. C'est l'église qui a servi les villages autour de La Chaussée comprenant Martaizé pendant beaucoup de siècles. Le sanctuaire de l'église est très spartiate qui suggère la nature commune de ses paroissiens. Pendant que nous nous asseyions dans cette petite église, nous avons pensé aux générations de Terriot qui ont traversé ses portails pour leurs baptêmes, les premières communions, les confirmations, leurs mariages et leurs enterrements. Cliqueter ici pour une photo de l'église aujourd'hui. Aujourd'hui en tant qu'en arrière puis, elle est entourée par d'autres bâtiments qui la protègent. Un de ces bâtiments est aujourd'hui La Maison de L'Acadie, qui marque le raccordement acadien très important du village.

Ancestral place of baptisms, weddings and funerals for so many Theriault's...

De même que leur tradition dans leur foi, ils ont recueilli à leur église "L'Eglise de La Chaussée". Et, comme écrit par G. Massignon et M. Caillebeau, un certain nombre de chariots ont recueilli devant la petite église de La Chaussée chargée avec les fermiers, leurs familles et leurs quelques affaires. Ils ont attendu la bénédiction de Monsieur Le Curé et les adieux affectueux de leurs amis. Vincent Landry, le Notaire, était là parmi la foule. Puis Martin Le Godelier, seigneur du village, mènent solennellement l'expédition loin comme ils ont lentement commencé leurs voyage de cinq jours à La Rochelle et leur destination certaine dans le nouveau monde.

Plus tard, le 1er avril, ils avec environ une douzaine d'autres familles ont embarqué le Saint-Jehan à La Rochelle. Hormis ceux qui ont embarqué à La Rochelle, le Saint-Jehan en a transporté un certain nombre de familles, les hommes loués et quelques Basques Champagne, d'Anjou, Dijon, et Brittany. Mais, au dessus du manifeste pour le 'Saint-Jehan 'était Jeanne Motin, fille de Louis Motin (associé à Isaac de Razilly) qui était sur son chemin à l'Acadie où elle et Charles de Menou épouserait. Tandis qu'aucun logement spécial de doute n'était préparé pour Jeanne Motin, les autres passagers comprenant Jehan et Perrine se sont contentés du prix standard.


LE MOUVEMENT DE METTRE EN PORT ROYAL…

Quand le Saint-Jehan est arrivé en mai de 1636, Aulnay avait décidé de déplacer la colonie de La Hève à Port Royal où les terres arables étaient très abondantes. Comme montré dans la carte ci-dessous, l'endroit choisi dans Port Royal pour le nouveau règlement n'était pas le secteur qui a été arrangé la première fois en 1605 du côté du nord du bassin de Port Royal (identifié par une étoile) mais sur un point à la bouche du fleuve de Dauphin (Annapolis-Royal actuel) sur les banques méridionales du bassin (identifié par une étoile cerclée). Il n'était pas longtemps avant les Terriots et les autres de La Hève sont devenus établis dans Port Royal. Peu, si des familles restaient en La Hève.

PORT ROYAL... THE EARLIER AND LATER SETTLEMENTS... with Jehan and Perrine's Acadian homestead

Une fois qu'arrangé, les Acadiens ont commencé leurs familles. Peu après leur arrivée en 1636, d'abord soutenu dans Acadia était Mathieu Martin, le deuxième fils de Pierre Martin, voisins au à l'ouest de la ferme de Jehan et de Perrine. Alors en 1637, après arrangement dans leur nouvelle maison dans royal gauche, Jehan et Perrine ont reçu leur premier fils né, qu'ils ont appelé Claude. La deuxième génération de Terriot a été commencée.

Comme montré sur la carte ci-dessus (cliqueter gauche dessus la carte pour agrandir), les Acadiens tôt a arrangé sur les banques nordiques et méridionales de la Rivière-au-Dauphin, un fleuve doux ce qui coule à l'ouest et vide dans le Bassin de Port Royale. Les banques du fleuve ont eu de grandes étendues les terres en contre-bas et les marais idéaux pour la technique diking acadienne pour l'agriculture. Des colons qui étaient avec Jehan et Perrine en cela période de temps tôt, beaucoup étaient des amis de leur paroisse de La Chaussée qui a inclus les paroissiens des villages Martaizé et Aulnay et d'autres plus petits villages dans le secteur. Certains de leurs noms de famille étaient Blanchard, Bourg, Doucet, Gaudet, Guérin et Poirier.[ref: 27] d'autres comme les Giroire, Boudrot, Brault et DuPuys arriverait dans des années postérieures. Il y avait d'autres colons acadiens comme la famille de Martin arrivant avec les Terriots qui étaient d'autres secteurs en France.

La majeure partie de les Acadiens tôt ont arrangé sur le bout droit du fleuve à l'est du règlement Port-Royal comme le faisaient Jehan et Perrine. Le secteur occidental, entre Port Royal et le bassin serait arrangé plus tard. Certains des voisins du Terriots ont inclus les Blanchards à l'est, et à l'ouest, les Gaudets et les Martins. D'autres comme les Doucets étaient des partis peu plus lointain mais dans les même endroits.[ref: 28]

La pratique à ce moment-là devait assigner une 'concession' à chaque colon qui s'est composé derrière une bande étroite de terre environ deux acres de large au fleuve et à aller en arrière une distance de 30 acres à la forêt vierge à l'intérieur de la terre, ou un total d'environ 60 acres. De cette surface cultivée, un fermier simple sans l'aide (c.-à-d., aucuns fils ni mains manuelles louées) typiquement pourrait en mesure à l'espace libre et cultiverait 5-6 acres au moins.28  Le secret à la prospérité était très simple : une famille nombreuse avec un grand nombre de fils forts, en bonne santé et ambitieux.

Les colons ont accompli le bon progrès : construction d'un fort, plusieurs habitations communes, les ‘maraits salants’ pour produire le sel, les levées et les abôiteaux pour garder les marées élevées outre des marais, et quelques chalands, petits bateaux et canoës pour diriger le fleuve de Dauphin. Ils ont même construit une monastère, que les colonials ont appelée 'le seminaire' où une douzaine environ des moines de Capucins a vécu. Les moines ont servi la colonie en enseignant d'environ 30 fils des colonials aussi bien que de jeunes Micmacs indiens et Abenaquis. D'ici 1640, les Capucins a eu quatre missions dans l'Acadie : Port Royal, La Hève, Pentagoet (Penobscot actuel, Maine), et Canso.

Cette période de 15 ans de progrès (de 1635 à 1650) était pas trops affecté par des conflits français et anglais. L'exception naturellement était l'inimitié en cours entre Charles de La Tour et Charles de Menou d'Aulnay. Après s'être basé sur St-Jean, l'excursion de La Tour a attaqué un des bateaux d'Aulnay en 1639 et a essayé un attaque sur Port Royal, une tentative qui a échoué. L'inimitié a été finalement apportée à une extrémité quand en 1641, d'Aulnay a persuadé la cour française de le nommer gouverneur et autorisation reçue postérieure de capturer La Tour et de l'arrêter. Mais excursion de La Tour continuée pour éluder d'Aulnay et en 1647, alors que l'excursion de La Tour était partie, d'Aulnay réussie à capturer et à détruire son fort chez St-Jean. Tragiquement, Madame La Tour a été tuée dans l'attaque et est morte aux mains des d'Aulnay.

TERRIOT FAMILY: Second Generation in 1649Excepté les escarmouches occasionnelles entre 'les seigneurs rancune ', les Acadiens étaient relativement inchangé par les campagnes en cours par La Tour et d'Aulnay. Dè la naissance de Claude en 1637, Jehan et Perrine ont ajouté un autre enfant à leur famille tous les deux ou trois ans. De sorte que d'ici 1646, leur famille se soit développée à cinq enfants : Claude, Jehan II (1639), Bonaventure dit Venture (1641), une petite fille Jeanne (1643) et un fils, Germain (1646). Par la suite, ils auraient sept. Ainsi, la deuxième génération de Terriot était bien dans la fabrication. D'ici 1649, Claude avait 13 ans, Jehan II était 10 et Bonaventure avait juste 8 ans.

En ce moment, on s'est attendu à ce que Claude commence à travailler en tant qu'adulte. Du fait temps, un garçon a été considéré un homme à l'âge de 14 et parfois, les filles marieraient aussi jeune que 13 ou 14. Avant cette fois, on s'est attendu à ce qu'un garçon reste près de la maison avec des corvées de bois de chauffage sourcilleux et de coupure, chercher l'eau potable, alimenter et nettoyer le bétail, trayant les vaches et les chèvres, jeu de chasse et de piégeage le petits, etc… En cinq années supplémentaires, Jehan et 'Venture 'pourraient également en mesure 'ont mis leurs épaules à la tâche 'd'aider avec le bétail, de labourer la terre, de l'apporter dans les récoltes et de construire les dikes.

En attendant, beaucoup de ce travail est tombé sur entre les hommes originaux qui sont venus 1636 et 1650. D'autres ont continué à arriver de France pendant ceci phase tôt de la colonie qui a aidé à éclairer le fardeau. En plus de prévoir leurs familles grandissantes en plus de 'bouches à alimenter, on s'est attendu à ce que les hommes aident avec le travail commun de bâtiment de dikes et de bâtiments des bâtiment communs dans Port Royal. Tous les dikes ont été considérés propriété commune et la responsabilité de tout les acadiens. La raison était que si un segment du dike échouait, elle a affecté chacun indépendamment d'où le segment échoué était.

D'ici 1650, le règlement était bien établi avec des projets diking principaux en cours. Un intérêt et préoccupation principaux de Charles de Menou était le travail de vidanger les grandes marais et prairies. Ainsi il était celui 24 mai 1650, un jour apparent très froid au printemps, Charles de Menou était sur son chemin de vérifier le progrès de ce travail le long du fleuve Port Royal de le moment où il a chaviré son canoë et est mort le froid et l'exposition. Son corps plus tard a été trouvé par les Indiens qui ont transporté son corps à une carlingue. Le père Ignace de Paris de Capucin qui a composé un mémoire de cet accident a renvoyé son corps au fort.

Ainsi fini le chapitre de Sieur le D'Aulnay dans l'histoire des débuts de les Acadiens… un chapitre en critique important. Des chefs impliqués en colonisant l'Acadie, tous excepté Charles de Menou étaient principalement intéressés par les aspects commerciaux de la colonie. Charles de Menou était distingué des autres du fait sa vision devait établir une population permanente d'Acadiens. Bien que connu comme 'hard driver ', il était véritablement intéressé par ses personnes. En lui était celui qui a eu trié à la main les premiers hommes qui sont venus 1632 et des douzaines de d'autres plus tard. Il a accumulé des dettes énormes dans ce processus d'apporter ses colons soigneusement choisis de France. C'était lui qui a accepté de prendre la position d'Isaac de Razilly's pour continuer de régir la colonie. Sans Charles de Menou, la colonie acadienne sûrement aurait été de courte durée.

Mais avant que de son untimely mort, la colonie avait été dans Acadia presque 20 ans et était sur le chemin à devenir établie. Acadia a tenu une promesse à l'avenir…

Comme fin appropriée à ce chapitre, me laisser offrir un aperçu de la vie acadienne comme écrit par Rameau de Saint-Pere-Pere dans sa écriture 1889 'Une Colonie féodale en Amérique ce que je traduirai pour toi :
 

"On Sundays, we saw the Acadian farmers emerging from all of the folds of this charming valley, some by canoe, others on  horse with their wives and daughters riding astride behind, while long lines of Micmacs decorated with all sorts of bright colors and bizarre ornaments, mingled  with them.

Around the manor and the church, d'Aulnay had kept great open spaces of land and open fields which they called 'Champs Commun/ Common Fields' where the Acadians would attach their mounts and leave their possessions.

On leaving church after Holy Mass, the Acadians would linger on the Common Fields during the warm seasons, while talking about their crops, their latest hunting and trapping excursions, their land clearing work,  d'Aulnay's latest undertakings and the thousand stories in their private lives, and in general to gossip in the custom of all french-speaking lands.

D'Aulnay often mingled with his people. He would tell of his adventures at sea or in battle and of his travels out to Indian lands. More than one old explorer who might have ridden with Latour and Biencourt, or been seen with Poutrincourt, would counter with his own stories and occasionally, the venerable Sagamos Micmacs would solemnly intervene in the conversation.

It was a good occasion to inform himself about the developments in each family. Always in good humor, he would predict the next marriages and talked about the establishment of new families in their new lands. Because it was one of his main hopes to expand and multiply the Acadian families which he considered with good reason to be the essential base, the vital force of the 'seigneurie' and the colony."

"Le dimanche, on voyait déboucher de tous les replis de cette charmante vallée les fermiers acadiens, les uns en canot, les autres sur leurs chevaux, amenant en croupe leurs femmes ou leurs filles, tandis que de longues files de Micmacs, couverts d'ornements bizarres et de peintures voyantes, se croisaient avec eux.

Autour du manoir et de l'église, d'Aulnay avait ménagé de grands espaces de terre et de prairie, qu'on appelait les champs communs où les arrivants attachaient leurs montures et déposaient leurs bagages.

En sortant des offices, on s'attardait vollontiers, durant la belle saison, sur les champs communs, en devisant sur les récoltes, sur la chasse, sur les défrichements de chacun, sur les travaux entrepris par le seigneur et aussi sur les mille incidents de la vie privée, ainsi qu'il est d'usage de commérer dans tous les pays français...  

D'Aulnay se mêlait souvent lui-même entremis ces propos. Il recontait ses aventures de mer ou de bataille et ses courses dans le pays indien. Plus d'un vieux routier qui avait chevauché avec Latour et Biencourt, voire avec Poutrincourt, lui donnaient la répartie et de vénérables sagamos micmacs intervenaient quelquefois avec solennité dans la conversation.

C'était une occasion propice pour s'informer de ce qui advenait dans chaque famille. Tout en plaisantant, il fomentait les mariages et discutait l'établissement des nouveaux ménages dans de nouvelles fermes. Car c'était un de se soucis dominants de multiplier ces foyers domestiques, qu'il considérait avec raison comme la base essentielle, la force vitale de la seigneurie et de la colonie."